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Quand on est jeune, on s’interroge parfoisSur la vie, ou sur n’importe quoi.On veut savoir pourquoi il y a des parentsEt pourquoi aussi, nous sommes leurs enfants.On veut savoir, si un jour on deviendra grandEt si nous aurons nous aussi des enfants.Il n’y a pas de jour ou l’on ne pense pasA nombre de choses qu’on ne comprend pas.…Pourquoi y a-t-il autant de saisonsPourquoi suis-je une fille, pas un garçonPourquoi la vie est facile pour certainsEt quelquefois chiante pour quelques-uns.On a une bien vague notion du bonheurOn pense en trouver dans les dépanneursMais il doit se vendre seulement aux gensQui sont déjà heureux et qui ont de l’argent.…Non, on ne comprend pas grand-chose de la vieMême si les plus grands semblent avoir comprisMais il est normal de nous poser des questionsCar on voudrait s’ouvrir à d’autres horizons.Quand le jour se lève sur le mondeIl y a des endroits qui demeurent sombresMais dans le midi, quand il fait un beau soleil,Il n’y a plus personne, qui vraiment s’en rappelle…(Texte: Claude-Marcel Breault)…
Un étudiant d’université, se pensant assez génial, assiste à un match de football avec des amis.
Il essaie d’expliquer à son voisin de siège, qui a un âge certain, pourquoi il est impossible aux vieux de comprendre la nouvelle génération:
Vous avez grandi dans un monde différent, que je qualifierais
aujourd’hui de «primitif», dit l’étudiant, et assez fort pour que les gens autour de lui l’entendent. … Les jeunes d’aujourd’hui ont grandi avec la télévision, les avions, les voyages dans l’espace, la marche sur la Lune. Nos vaisseaux spatiaux ont visité Mars, nous avons l’énergie nucléaire, l’électricité, les autos à hydrogène, les ordinateurs ultra rapides, etc, etc…Il prit une pause pour boire une longue gorgée de bière.
Profitant de l’arrêt de ce flot de déblatérations, son voisin plus âgé dit:
Tu as parfaitement raison, mon jeune ! Quand nous étions jeunes, nous n’avions pas toutes ces choses que tu as mentionnées… C’est pourquoi nous avons dû les inventer !Maintenant, mon jeune homme, toi et ta «gang», qu’allez-vous faire pour la prochaine génération ?
(Site Chez Maya)
Bon Lundi de Fête !
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Entre
Ce que je pense,
Ce que je veux dire,
Ce que je crois dire,
Ce que je dis,
Ce que vous avez envie d’entendre,
Ce que vous croyez entendre,
Ce que vous entendez,
Ce que vous avez envie de comprendre,
Ce que vous comprenez,
Il y a neuf possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer.
Mais essayons quand même…
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« Parler est un besoin. Écouter est un art. » (Goethe)
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Le grand-père raconte à Jérémy, son petit-fils,
comment la vie a changé depuis ses jeunes années…
Grand-père :
« Tu sais Jérémy, quand j’étais p’tit, maman me donnait un dollar
et je partais à l’épicerie du coin.
Je revenais avec une livre de beurre, une pinte de lait,
2 livres de pommes de terre, une livre de fromage,
une livre de sucre, du pain et des oeufs… »
Et Jérémy de lui répondre :
« Y’ avait pas de caméras de surveillance dans ce temps-là ? …! »
(chez Maya)
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Souvenons-nous que, chez nous, les êtres humains,
les attitudes et les humeurs se communiquent.
Tout cela est très contagieux…
Chaque hypothèse ou attente que nous élaborons à propos d’un autre être humain, est une sorte de prière qui émane de nous;
elle contribue à créer cette réalité chez la personne en question. Rappelons-nous : nos esprits créent des liens.
Nos pensées et nos attentes rayonnent autour de nouset incitent d’autres personnes à penserde la même façon que nous.
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On pourrait compléter cette règle en ces termes :"-Faites aux autres ce que vous aimeriez qu’ils vous fassent,
parce que la façon dont vous les traitez
ou dont vous pensez à eux
reflètent exactement la façon dont ils vous traiteront".
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La prière qu’envoie notre sentiment ou notre action
tend à provoquer chez eux exactement
ce à quoi nous nous attendons.
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Souvenons-nous que, chez-nous, les êtres humains,
les attitudes et les humeurs se communiquent.
Tout cela est très contagieux…
( James Redfield ).
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L’Amérique et l’Europe :
Un Nord Américain qui se promène dans les vieilles villes européennes est saisi d’une étrange émotion, il déambule dans un autre monde que le sien. Evidemment, il se trouve dans la civilisation occidentale, mais ce terme est faussement évident. Un univers mental sépare les deux rives de l’Atlantique.
L’Amérique et l’Europe ont plus de différences qu’on ne le croit.
L’Europe est une vieille civilisation qui s’est construite en faisant le pari de traverser les générations. L’architecture des villes en témoigne. Cet univers a été construit pour durer. La construction des plus beaux châteaux, des plus belles églises, s’est souvent étalée sur plusieurs siècles, d’une génération à l’autre, il fallait prendre le relais. En Europe, les merveilles du passé ne sont pas entassées dans les seuls musées, elles meublent l’existence quotidienne. Les Européens habitent un vieux monde.
C’est évidemment un sentiment contraire qui habite la conscience nord-américaine. Ce qui la caractérise, ce n’est pas d’abord l’attachement à l’Histoire, mais bien la possibilité de faire table rase. Cette capacité à s’arracher au passé, nous la nommons en Amérique… "Modernité". On ne parle pas à tort du Nouveau-Monde.
Le Nord-Américain ne veut pas se laisser enfermer dans les structures vieillies par les siècles. Il doit toujours pouvoir s’en libérer. D’ailleurs, c’est en Amérique du Nord que la prospérité s’est vraiment démocratisée. On construit en sachant d’avance qu’on finira par raser pour construire plus neuf et plus moderne !
Ce qui est fascinant d’ailleurs, c’est lorsque les deux mondes se rencontrent. Les touristes nord-américains traitent souvent les vieilles villes comme un beau décor, admirable mais folklorique, ils prennent des photos.
Peut-on conjuguer la durée et la modernité?
Comment rendre le monde moderne durable ?
Paul Valéry disait:
"Tout n’est pas faux dans ce qui fut abandonné.
Tout n’est pas vrai dans ce qui se révèle."
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(extrait du texte de Mathieu Bock-Côté)..
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La nature est éternellement jeune, belle et généreuse.
Elle possède le secret du bonheur et nul n’a su lui ravir.
On est toujours le jeune d’un vieux ou le vieux d’un jeune.
Alors, j’y vais pour le premier choix!
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