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Par Floray le 22 Novembre 2013 à 19:47
Au fond d'un vieux marécage vivaient quelques larvesqui ne pouvaient pas comprendre
pourquoi nul du groupe ne revenait
après avoir rampé le long des tiges de lys
jusqu'à la surface de l'eau.
Elles se promirent l'une à l'autre que,
la prochaine qui serait appelée à monter
reviendrait dire aux autres ce qui lui était arrivé.
Bientôt, l'une se sentit poussée de façon irrésistible
à gagner la surface;
elle se reposa au sommet d'une feuille de lys
et subit une magnifique transformation,
qui fit d'elle une libellule avec de forts jolies ailes.
...
Elle essaya en vain de tenir sa promesse.
Volant d'un bout à l'autre du marais,
elle voyait bien ses amies en bas.
Alors, elle comprit que, même si elles avaient pu la voir,
elles n'auraient pas reconnu comme une des leurs
une créature aussi radieuse.
Le fait que nous ne pouvons pas voir nos amiset communiquer avec eux après la transformation
que nous appelons la mort,
n'est pas une preuve qu'ils ont cessé d'exister.
Ils sont transformés !
.
(texte trouvé sur Internet)
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Par Floray le 14 Novembre 2013 à 21:01
Au-delà de la naïveté...
ça fait du bien... à lire et regarder...
*
Cher Dieu,
Ça doit être très difficile pour toi d'aimertoutes les personnes du monde.
Il n'y en a que quatre dans notre familleet je n'y arrive pas beaucoup.*
Cher Dieu,
A la place de laisser mourir les genset de devoir en refaire d'autres,pourquoi ne pas simplement garder ceux que tu as ?Mon Dieu, qui dessine les lignesautour des pays ?
Mon Dieu, penses-tu réellement,quand tu dis:
"Fais aux autres ce qu'ils auraient fait pour toi" ?
parce que, je suis à la veille de tapocher mon frère.
Mon Dieu, il a mouillé pendant toutes nos vacances, et mon père étaitde mauvaise humeur.
Il a dit des choses sur Toique personne n'est supposé dire,mais j'espère que tu ne le puniras pas....Ton ami.(mais je ne te dirai pas mon nom).
Mon Dieu, s.v.p. envoie-moi un poney.
Je ne t'ai jamais rien demandé avant.Tu peux vérifier.
Mon Dieu, quand tu as fait la girafe,
l'avais-tu prévue comme çaou c'est un accident ?
*
P.S.SVP, Jésus ne me fais pas grandir!
Car la maîtresse a dit aujourd'huique ta maison appartenaitaux coeurs d'enfants.
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Par Floray le 8 Novembre 2013 à 15:53
Quelques bonnes façons de gérer les fardeaux de la vie :
- Acceptez que certains jours vous êtes le pigeon,
et certains jours vous êtes la statue.
-Ayez toujours des paroles douces et tendres,
au cas où vous devriez les ravaler ou qu’elles seraient
les dernières que vous diriez.
- Conduisez prudemment.
Il n’y a pas que les voitures
qui peuvent être rappelées par leur manufacturier.- Si vous ne pouvez pas être gentil,
ayez au moins la délicatesse dêtre vague.
- Si vous passez 20$ à quelqu’un et que vous ne le
voyez plus jamais, ça en valait probablement la peine.- Les anniversaires sont bons pour vous.
Plus vous en avez, plus vous vivez vieux !
Se rapprocher de la nature, au mois de novembre…?…
dans le froid et la pluie, ça peut sembler inapproprié.Pourtant, même en novembre, la nature est en vie,
et elle fait très bien son travail d’hibernation,
et il peut être réconfortant d’entrer en contact avec elle,
la regardant évoluer de jours en jours,
elle qui s’adapte au froid, au gel, et au dépouillement.
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Par Floray le 31 Octobre 2013 à 19:25
Une heure de plus en fin de semaine…
.
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Le temps !
On dit que le temps arrange tout, il suffit de l’attendre.
Mais qu’il est donc lent,
le temps de l’attente:
L’attente de l’ami, qu’on n’a pas vu depuis longtemps.
L’attente des secours, quand survient l’accident.
L’attente de la guérison, quand s’éternise la souffrance.
L’attente du soleil, quand tarde le printemps.
L’attente de la compassion, quand dure l’indifférence.
L’attente du pardon, pour une lointaine offense...
Pourtant, il suffit qu’on l’oublie,
le temps
Quand arrive l’ami qu’on attendait depuis longtemps
Que se réveillent les souvenirs d’antan.
Et qu’on déroule les histoires du bon vieux temps.
Il en profite pour nous échapper et galoper, le cher temps.
Et quand vient le temps d’aller voir où en est le temps,
On s’aperçoit qu’il a filé comme le vent, le cher temps.
Et qu’on ne peut le rattraper,
ce temps.
On a parfois envie de l’emprisonner dans les bons moments.
Mais lent ou rapide, on ne peut l’arrêter de passer, le temps.
Puis quand vient le temps de disposer de notre temps,
Oui, on en a du temps !
On voudrait même l’arrêter, histoire de regarder passer le temps.
Mais on se lasse vite à ne faire que regarder passer le temps.
Alors on proposera à un ami, à qui il ne reste que peu de temps
De l’accompagner jusqu’au bout de son temps.
On répondra à l’enfant qui nous demande un peu de temps,
Que pour lui, on a tout notre temps.
En espérant que, quand il ne nous restera que peu de temps,
Quelqu’un aura-t-il pour nous,
un peu de temps ?…
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Par Floray le 25 Octobre 2013 à 21:10
.(Voici la belle rivière qui traverse ma ville)
Imaginez la vie comme une rivière qui suit son cours,
parfois calme et paisible, parfois animée par des rapides et des turbulences.
Ceux qui restent accrochés aux herbes de la rivière subissent de plein fouet le courant. Leur regard reste toujours posé sur le même rivage. Ils ne prennent pas de risques, mais leur position est très inconfortable et surtout, ils n’ont aucune chance d’aller voir plus loin, là où la rivière se calme et flâne avant de nouveaux rapides.
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Ceux qui acceptent de lâcher les herbes choisissent de suivre le courant. Même s’il leur faut nager pour éviter les écueils, leur position est plus confortable.
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Lorsqu’ils arriveront à un endroit où la rivière se calme,
ils pourront en outre profiter du paysage et de la douceur de l’eau.
Les crises de vie que nous traversons nous incitent à lâcher les herbes de la rive pour profiter des innombrables beautés que nous réserve la rivière.
(texte; Marie Borel)
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