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    Tout le monde parle du stress.Pour certains, le stress est quelque chose qui leur arrive, comme une blessure ou une promotion. D’autres pensent que le stress est une réaction à un événement qui se manifeste à travers notre corps, notre esprit et notre comportement (par exemple, quand notre coeur bat la chamade, qu’on est anxieux ou qu’on se ronge les ongles).

    Bien que le stress soit relié aux événements et à notre réaction face à ceux-ci, ces facteurs ne sont pas les plus importants. Ce sont nos pensées face aux situations dans lesquelles nous nous trouvons qui constituent le facteur critique. Quand quelque chose nous arrive, nous évaluons automatiquement la situation dans notre esprit.

    Nous décidons de sa gravité, de la facon de la gérer et des aptitudes nécessaires à sa gestion. Si nous décidons que les exigences de la situation dépassent nos capacités d’y répondre, nous jugeons que celle-ci est " stressante " et appliquons la " réaction de stress " classique. Si nous décidons que nous sommes pleinement en mesure d’affronter la situation, alors elle ne semble pas aussi "stressante".

    Chacun de nous perçoit les situations de façon bien différente et possède ses propres capacités d’adaptation. C’est pourquoi deux personnes ne réagiront jamais exactement de la même façon devant une situation donnée. Oui, on peut et il faut apprivoiser son stress.


        
     
     
     

     


     
     


  • Fleurs admirées ~~~ Fleurs rejetées 


     

     

    Le festival canadien des tulipes est le plus
    grand festival de tulipes au monde.
    Plus de 3 millions de tulipes fleurissent, dans plus de 20 sites dans la capitale nationale Ottawa.
     
    Historique:En 1945, la Hollande donnait au Canada 100,000 bulbes de tulipes en guise de remerciement pour avoir donné refuge aux membres de la famille royale hollandaise,
    et pour le rôle joué par les anciens
    combattants canadiens durant la
    Deuxième Guerre mondiale.Chaque année encore, la ville d’Ottawa reçoit des bulbes de tulipes de Hollande.Aujourd’hui,près de trois millions d’entre elles vont éclore en mai dans les plate-bandes d’Ottawa. On y trouve des dizaines de variétés auxquelless’ajoutent des milliers de jonquilles.C’est un vrai délice pour les yeux !


    Supplication d’un pissenlit:
    Qu’il fasse beau ou que le temps soit triste
    je m’accroche à la vie avec une ardeur
    que l’on netrouve pas assez chez les humains.
    Devant les obstacles, je suis têtu comme une mule.Aux trottoirs crevassés et poussiéreux je tiens tête.
    Les maniaques des gazons verts ne peuvent pas me tolérer.
    Les botanistes me donnent
    de très beaux
    et grands noms et étudient
    mes moeurs de vie.
    Et moi, je m’accepte tel que je suis.  

    http://img124.imageshack.us/img124/5729/champpissenlits217zc.jpg

    http://img691.imageshack.us/img691/1134/tapisdepissenlits.gif

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    Une Mère
    Ça travaille à temps plein
    ça dort un oeil ouvert
    C'est d'garde comme un chien
    Ça court au moindre petit bruit
    ça s'lève au petit jour
    Ça fait des petites nuits
    C'est vrai
    ça crève de fatigue
    Ça danse à tout jamais une éternelle gigue
    Ça reste auprès de sa couvée
    Au prix de sa jeunesse au prix de sa beauté

    Une Mère
    Ça fait ce que ça peut
    ça ne peut pas tout faire
    Mais ça fait de son mieux
    Une mère
    Ça calme des chamailles
    Ça peigne d'autres cheveux
    que sa propre broussaille

    Une Mère
    C'est plus comme les autres filles
    ça oublie d'être fière
    ça vit pour sa famille
    Une Mère
    ça s'confine au bercail
    C'est pris comme un noyau
    dans l'fruit de ses entrailles

    Une Mère
    C'est là qu'ça nous protège
    Avec les yeux pleins d'eau
    les cheveux pleins de neige
    Une Mère
    A un moment
    ça s'courbe
    ça grince quand ça s'penche
    Ça n'en peut plus d'être lourde
    Ça tombe
    ça se brise une hanche
    Puis rapidement
    ça sombre
    C'est son dernier dimanche
    Ça pleure et ça fond à vue d'oeil
    Ça atteint la maigreur des plus petits cercueils
    O bien sûr
    ça veut revoir ensemble toute sa progéniture
    entassée dans sa chambre
    Et ça fait semblant d'être encore forte
    Jusqu'à c'que son cadet ait bien fermé la porte

    Et lorsque
    Tout seule ça se retrouve
    Ça attend dignement qu'le firmament s'entr'ouvre
    Et puis là
    ça se donne le droit
    De fermer pour une fois les deux yeux à la fois
    Une Mère
    ça n'devrait pas partir
    Mais on n'y peut rien faire
    Mais on n'y peut rien dire
    Une Mère
    Une Mère.
     
    (Lynda Lemay)

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  • (Bientôt, la Fête des Mères…Chez-nous: le 12 mai )

    Un jour, une femme, nommée Fleurette, alla renouveler son permis de conduire. Lorsqu’on lui demanda quelle était sa profession, elle hésita un instant.
    Elle ne savait pas comment se qualifier. Le fonctionnaire insista:- »Ce que je vous demande est si vous avez un travail ? »- »Bien sûr que j’ai un travail » répondit Fleurette… »Je suis mère! »- »Désolé madame, mais nous ne considérons pas cela comme une occupation professionnelle.  
      
    Une amie de Fleurette, Martha, fut informée de l’événement,et, pendant quelque temps, elle réfléchit sur le sujet…Un jour, elle se retrouva face aux mêmes circonstances. La personne qui se trouvait devant elle était une femme fonctionnaire sûre d’elle, efficiente et avec une large dose d’expérience.Le formulaire paraissait à Martha énorme et interminable. La première question était la suivante:   - »Quelle est votre profession? »
     

    Martha réfléchit un moment et avec un naturel sans pareil,
    répondit de la manière suivante: - »Je suis agrégée en développement infantile et relations humaines ! »
     La fonctionnaire eut un air de stupeur, d’étonnement , et Martha répéta mot à mot sa réponse. Après avoir pris note, la jeune fonctionnaire osa lui demander:
    - »Puis-je savoir ce que vous faites exactement ? »Sans le moindre doute,fermement et avec beaucoup de calme et de sérénité, Martha expliqua:   
     
    - »Je développe une thèse, un programme à long terme, à l’intérieur et à l’extérieur du foyer.Pensant à sa famille, elle continua:- »Je suis à la tête d’une équipe et j’ai déjà à ma charge quatre projets bien distincts. Je travaille à plein temps sans limite d’horaire et en exclusivité. Le degré d’exigence est de 14 heures par jour, voire même 24 heures sur 24. 
     
     Au fur et à mesure qu’elle décrivait ses responsabilités, Martha remarqua dans la voix de la fonctionnaire un ton de plus en plus respectueux, qui, de son côté, continuait à remplir le formulaire.   Lorsqu’elle rentra chez elle, Martha fut reçue par son équipe: 3 petites filles de 13, 7 et 3 ans. En montant à l’étage, elle entendit le plus jeune de ses projets , un joli bébé de 6 mois, s’adonnant à un nouvel assemblage de sonorités vocales. Heureuse, Martha prit son bébé dans ses bras et pensa à toute le beauté et la noblesse de la maternité, à ses multiples responsabilités et aux heures interminables de pleine et entière dédication…  
      
    « Maman, où sont mes chaussures ?
    Maman, tu m’aides à faire mes devoirs ?
     
    Maman, le bébé n’arrête pas de pleurer.
    Maman, tu viens me chercher à l’école ? 
    Maman, tu m’emmènes à mon cours de ballet ?
    Maman, tu m’achètes…?
    Maman… …
        
     
    Assise sur le rebord du lit, Martha pensa:
    « Si elle était agrégée en développement infantile et en
    relations humaines,
    comment qualifier les grands-mères ?
    Et bien, elle trouva:
    Les grands-mères seraient des agrégées-seniors en développement infantile et relations humaines.
      
     
    Les arrières grands-mères, les agrégées-exécutives seniors. Les tantes, les agrégées-assistantes.  Et toutes les femmes, mères, épouses, amies et confidentes: des agrégées-spécialisées dans l’art de rendre la vie merveilleuse.  
      
      
    Dans un monde où les titres et les diplômes ont tant d’importance, où l’on exige de plus en plus une spécialisation dans tel ou tel domaine professionnel… « Deviens une spécialiste, dans l’art d’aimer ! »…
     
     


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     Quand je ne serai plus capable de goûter la vie,
     
    de reconnaître la beauté à la fois familière et
     
    toujours neuve de mes activités quotidiennes ;
     
     
    ou de m’extasier devant la beauté des oiseaux
     
     
    alors …
     
    oui, alors…
     
    je saurai que je suis en train de devenir vieux !
     
    ( Pierre Charland )
     
     
    Le printemps : Ouverture du barrage:
     
     
     
     
     
    C’est le beau temps : soleil et chaleur:
     
     
     

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